Contre le troisième mandat, nous devons généraliser la lutte dans tous les pays de l’Afrique de l’Ouest pour nous débarrasser de cette pègre ( par Aly Badara Akila ) !

Le Togo était devenu la seule anomalie de l’Afrique de l’Ouest. Les Togolais se battaient seuls avec leurs maigres moyens sous le regard insultant d’autres peuples de la région. Certains sont allés jusqu’à dire que les Togolais sont des peureux, d’autres comme des voisins de l’Est sont venus en renfort à la dictature togolaise.

Et pourtant il est de notoriété publique que si la gangrène que constitue le régime togolais n’est pas circonscrite et extirpée, mais elle risque de contaminer les autres pays surtout francophone. Nous voici aujourd’hui devant le fait accompli avec les fautifs, Alassane Ouattara et Alpha Condé qui ont décidé le même jour à l’unisson de briguer un 3e mandat après avoir modifié des constitutions à l’aune de leur projet macabre. 

Ce qui se passe aujourd’hui en Afrique de l’Ouest est un défi non seulement lancé à toute la jeunesse Africaine mais aussi une prise en otage de ces pays par une élite corrompue, rebelle, malhonnête, honteuse, indigne sans vision, au service de la France coloniale. La réponse à cette provocation de trop ne saurait être circonscrite à l’intérieur de chaque pays où chaque peuple de façon isolée essaye vaille que vaille de se débarrasser de son petit potentat. L’heure est pour nous maintenant de généraliser la lutte dans tous les pays de l’Afrique de l’Ouest pour qu'on se débarrasse désormais de cette pègre. 

Autant les chefs d’Etat ont mis en place leur syndicat pour se soutenir et s’éterniser au pouvoir, c'est pourquoi cette CEDEAO est venue pour nous mentir sur notre sol, des gouverneurs franco-africains, autant les peuples doivent s’unir pour se débarrasser d’eux. Les Togolais, Ivoiriens, Guinéens, Sénégalais, Bissau-guinéens, Maliens, Concogolais, etc... doivent rapidement se retrouver pour définir une stratégie d’ensemble, mutualiser leurs forces, leurs moyens, leurs relations pour se débarrasser de ces petits potentats locaux et leur parrain la France qui s'impose et impose ses minables sur notre sol. 

C’est l’avenir des peuples de l’Afrique de l’Ouest qui est en danger et il est temps de sortir de nos petits enclos coloniaux pour mener une lutte sans merci contre ces voyous et bandits de grand chemin qui se font appeler chefs d’Etat. « Prolétaires de tous les pays unissez-vous » disait un grand philosophe. Patriotes de tous les pays unissons-nous pour mettre fin à cette honte. Ce combat n’est pas un combat de leaders politiques qui sont du reste aussi corrompus que les potentats. 

C’est un combat de la jeunesse africaine, c’est un combat des peuples et c’est à ce prix que nous réussirons à nous débarrasser de cette pègre. L’heure n’est plus aux discours mais aux actions. Sortons des discours insensés, et mettons en place nos structures dans tous les pays africains pour sortir notre terre de cette insulte. Ils doivent partir et c'est ce qu'il faut pour que l'Afrique soit mise en liberté sans problème. Des hontes comme nos dirigeants actuels, sont une mauvaise leçon pour notre Afrique. Jeunesse africaine debout, lève toi pour que nous ayons une bonne démocratie sur notre sol. 

Les deux chefs d’État ivoirien et guinéen, Alassane Ouattara et Alpha Condé, respectivement âgés de 78 et 82 ans, veulent encore rempiler pour un autre mandat de plus, après s'être engagés à passer le témoin à des candidats plus jeunes qui cherchent comme eux en dépit de l’opposition d’une grande partie de leurs peuples. Lui qui avait prêté serment devant Dieu et son peuple. Alassane Ouattara qui se transforme en une honte politique, a justifier sa décision par la mort de son poulain et défunt Amadou Gon Koulibaly qui était son premier ministre. 

Comme la phobie d'une gouvernance c'est de mourir au pouvoir, lors d’un discours télévisé, tandis que son homologue guinéen, M. Condé, s’est abrité derrière son parti pour motiver son éventuelle candidature à sa propre succession, faisant fi de la forte opposition en cours à Conakry qui exige son départ. Alpha Condé et Ouattara les deux amis se voient éligible en faisant un parjure qui peut-être s'appliquera sur les rigueurs de la loi un jour.

‹‹ J’ai décidé de répondre favorablement à l’appel de mes concitoyens me demandant d’être candidat Je suis donc candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre ››, tels sont entre autres les propos d'un homme qui prétend être messi de la Côte d'Ivoire. Nos dirigeants actuels sont devenus des calibres-douzes contre leur propre peuple. Ils ne cherchent que le pouvoir malgré leur âge qui ne leur permettra même pas de faire un de surcroît. 

Des insoucieux, des gens qui vomissent après ravalent c'est ça, sinon on peut pas dire un mot et dire son contraire. C'est une phobie, nos dirigeants actuels veulent s'accaparer du pouvoir sous l'œil impuissant d'un peuple aussi peureux et inadmissible qui refuse de prendre son destin en main. La côte d'Ivoire pouvait être une bonne leçon pour l'Afrique francophone, elle pouvait être une leçon pour ceux qui veulent mourir au pouvoir mais malheureusement, nous avons presque des mêmes guignols qui ne mâchent que le pouvoir et même si rien n'est fait, ils veulent mourir en roi alors qu'ils ont été élus par leur propre peuple et sur la même base de constitution qu'ils ont modifier pour mourir roi et non président au pouvoir. 

Élu en 2010 puis réélu en 2015, Alassane Ouattara avait estimé je cite : ‹‹ que la Constitution l’“autorise” à exercer un troisième mandat. La Constitution limite à deux le nombre de mandats présidentiels, mais selon l’interprétation du pouvoir, l’adoption de cette nouvelle loi fondamentale en 2016 a remis les compteurs à zéro. Même cas chez l'actuel président guinéen qui s'érige en docteur constitutionnel pour se représenter et être la même tête au pays face à un premier bilan négatif. À Conakry, Alpha Condé n’en fait pas mieux pour assurer un meilleur avenir politique à son pays, puisqu’en début d’année il a organisé un référendum constitutionnel largement boycotté par les Guinéens, pour pouvoir se représenter à un éventuel troisième mandat présidentiel, en remettant lui aussi les compteurs à zéro, tout en laissant en vigueur la limitation du nombre de mandats à deux. 

‹‹ Je prends acte, vous avez entendu, je prends acte ›› avait aussi déclaré le champion du parti au pouvoir dans un pays comme la Guinée, lors d'une convention électorale et pour justifier son probable passage en force, alors que le pays est en proie à de meurtrières manifestations depuis des mois, Alpha Condé use d’arguments assez classiques qu’utilise la majorité de ses homologues africains pour s'octroyer aussi un troisième mandat. 

‹‹ Si vous voulez que j’accepte votre proposition, il faut que vous vous engagiez à ce que le RPG redevienne ce qu’il était, un parti qui n’oublie personne ››, avait indiqué le Sorbonnier comme il l'a presque dit dans les oreilles de son peuple qu'il vient de cette université, Sorbonne. De drôle a la marmotte, Alpha Condé dira de plus qu'il va lutter contre la corruption alors que la corruption figure déjà depuis des années de son gouvernance. Qui va croire qu'il n'y a pas eu de corruption ? De tricherie ? De dilapidation ? Des détournements fantaisistes sans justice ? Des malversations ? 

L'argent du peuple donner a un seul clan pour battre campagne et d'autres s'appauvrissent tous les jours, qui va croire a une telle promesse ? Ouattara et Condé ne sont pas les seuls à recourir à ce genre de pratique sur le continent noir. Cela a été le cas au Zimbabwe avec le défunt président Robert Mugabe, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo en Guinée équatoriale ou encore Paul Biya au Cameroun, pour ne citer que ceux-là comme des étrangers hérétiques qui veulent mourir au pouvoir en mentant a leur peuple et en bâillonnant la liberté de la presse pour devenir des pharaons sur le continent africain. 

Alors qu’il avait à plusieurs reprises déclaré, que ce soit sur les médias internationaux, devant son parti le RHDP et ses militants, de ‘transmettre le pouvoir à la jeune génération » le « Boulanger » du pays Kong, une ethnie disséminée entre le sud du Burkina et le nord de la Côte-d’Ivoire, le champion de la fourberie et du non respect de la parole donnée, Alassane Ouattara, lors d’ une adresse à la nation à l’occasion de la fête nationale de son pays, se déclare officiellement candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

Macron ce président Français avait salué la décision de son sous-préfet franco-africain qui a avait dit qu'il n'allait pas se représenter, mais qui se comportera désormais au tout petit après dire que les états francophones africains du moins les « gouverneurs français » qui règnent à la tête de ces États, sont un amas de problèmes, une source d’instabilité politique et de déficit démocratique. Après on viendra nous dire que ses guignols ont été bénédictine plus que nous autres. Ils pensent avoir la main mise sur tout, pourtant ils font du banditisme intellectuel pour appauvrir l'Afrique sous l'aide de la petite puissance. C'est ce qui fait que la politique africaine est sale et est même devenue une ordure moins considérable sur le continent africain. 

Dans l'insouciance de son peuple, personne n'en parle et laisse ses vieillards politique faire de ce continent un royaume. À Y'en a marre, au balai Citoyen de Burkina Faso, de la Guinée, a Kemisséba et a toutes les autres structures panafricaines pour dire nos a gangsters qui gèrent de façon malsaine notre pauvre Afrique. Ils doivent partir, ils s'en fichent de l'éducation de la jeunesse africaine, son histoire falsifiée et est devenu un sacrifice politique de ses vaudois qui gouvernent dans le mensonge. Levons nous, unissons-nous, mobilisons la jeunesse africaine et acceptons d'être des vrais fils dignes de cette Afrique pour stopper la politique de ses fantômes qui cherchent à nous détruire. Inscrivons nous dans cette histoire, et restons dans la même leçon. 

Réveillons nous peuple d'Afrique, pensons à nos destins et a nos vies sur notre sol. Nous ne méritons plus cette phobie de troisième mandat, si nous sommes indépendant on doit montré a l'opinion que nous le sommes. L'indépendance est la preuve d'une responsabilité aussi. Sortons de cette colonisation clandestine, la France n'est pas celui qui doit nous imposer ses fourtous sur notre sol qui a tend souffert et qui est victime aujourd'hui de sa générosité. Jeunesse d'Afrique réveille toi !!! Pas de troisième mandat, pas de présidence a vie il faut qu'ils partent c'est tout. 

Que Dieu sauve l'Afrique et qu'il protège son peuple face à ses bandits a cols blancs !!! 

Aly Badara Akila, journaliste panafricain!!!

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