Cellou dalein Diallo prévient le CNRD : "Il ne peut y avoir une élection sans l'UFDG..." - Infosreelles.com

Malgré son éloignement du pays depuis plusieurs mois, malgré le refus de son parti de prendre part au cadre de dialogue inclusif initié par le premier ministre, Dr Bernard Gomou, le leader de l'UFDG ne compte point reculer dans son combat pour la conquête et l'exercice du pouvoir politique en Guinée.

Cellou dalein Diallo a, au cours de la dernière Assemblée générale hebdomadaire de son parti, réitéré à qui veut l'entendre qu'il n'y aura pas d'élections en Guinée sans son parti l'UFDG, qu'il considère d'ailleurs comme la première force politique du pays.

C'est pour cette raison, il invite ses militants et sympathisants à ne pas baisser les bras dans le combat qu'ils ont entamé depuis plusieurs années. Car, estime-t-il, la victoire sera de leur coté.

Merci de lire ici un extrait du discours de Cellou dalein Diallo !

L'Ufdg reste la première force politique du pays. Je tiens encore une fois à encourager les militants et sympathisants de notre parti. Comme je le disais l'autre fois, un combat pareil est toujours difficile. Mais, croyez-moi qu’on va y arriver, la victoire sera de notre côté. Parce que nous nous battons pour la promotion de la justice, de la démocratie pour mettre fin à l'arbitraire, pour mettre fin à la discrimination et surtout pour lutter efficacement contre la pauvreté.

Ce qui préoccupe de plus l'UFDG, c'est quand et comment les élections seront-elles organisées. Comme vous le savez, nous avons un nombre suffisant d’électeurs parce que les guinéens nous font confiance. Ils font confiance à l'UFDG et à son président. Ils sont prêts à le plébisciter dès le premier tour avec des élections crédible. Donc, croyez-moi : Il ne peut y avoir une élection sans UFDG.

Donc, restez mobilisés et soyez prêts à lutter contre ceux qui veulent qu'il n'y ait pas des élections, ceux qui ne veulent pas que le peuple choisisse ses dirigeants. C'est au peuple de Guinée, à lui seul, de choisir ses dirigeants. Et, ce combat nous devons continuer à le mener comme on a fait depuis de longues années.

La Rédaction

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